Pour Véronique Aubergé, spécialiste des interactions sociales en robotique au Laboratoire d’informatique de Grenoble, le robot compagnon «a une vraie utilité sociale s’il est bien conçu. Il va accomplir des choses extraordinaires par la communication». Surtout auprès des personnes en rupture de lien social : enfants hospitalisés, personnes âgées isolées, autistes…